vendredi 14 novembre 2008

Renfort caisse, svp

Ces +- 4 dernières années, j'ai rêvé plusieurs fois de supermarchés. Des petits, pas très beaux, avec une sale lumière de TL blafard. C'est suffisamment bizarre pour que je m'en souvienne. En plus, ce sont quasi les seuls rêves dont je me souviens.

Et surtout, ils sont super angoissants; je me réveille en sursaut, le coeur serré, la peur au ventre. Mais je ne sais pas pourquoi! Je ne sais pas ce qui se passe là-dedans qui me fout les jetons ou me panique à mort! Dans la vie réelle, je fais mes courses plusieurs fois par semaine dans un supermarché d'une chaîne connue, et je m'y porte très bien.

Si quelqu'un peut me dire à quoi ces supérettes peuvent bien se raccrocher ou me fournir une piste d'explication, je suis preneuse... S'adresser caisse 5.
Gr n'est plus un défi. Ce n'est pas que je me sois battue; c'est juste comme ça. Reste des petites miettes éminemment sympathiques *u* C'est du bonheur tout à fait gratuit; j'aime bien :-)

Vivement lundi.

lundi 10 novembre 2008

Quelques semaines de grève

Ce mois-ci, à chaque week-end prolongé, des hypermarchés bien connus ont "mené des actions syndicales". En cause: les (futures) conditions de travail. Eh bien, moi, j'ai fait mieux: quelques semaines de grève, à cause du et grâce au boulot!

Parce que, vu que des syndiqués anciens ont obtenu les congés payés, il était grand temps que j'en profite cette année aussi. Donc, j'ai fait la grève: du travail, du stress, du bilinguisme, des "salut, ça va?", de la vie permanente en société, du métro à l'heure de pointe du matin... Pour remplacer ça par: glandouille, films, musique, BD, bricolage, théatre, shopping sympa, chocolat, surfing... Le pied!

Et le sommet, c'est qu'à 3 jours du retour au turbin, je me chope une infection qui me met bien à plat. Antibiotiques et tout le toutim. Fête! :-/ Il faudra bien travailler un peu pour m'en remettre...lol

Dont acte: je vais au pieu. La bien bonne nuit!

lundi 13 octobre 2008

Le concert

Le concert du moment s'appelle Stephan Eicher. On peut aimer "Déjeuner en paix" ou l'avoir trop entendu, ce type est gigantesque. Le Théâtre 140 est à peine assez grand pour le contenir.

Le défi

Le défi du moment s'appelle Gr. Un vrai défi. La preuve: je me prends la tête avec. Mais qu'est-ce que c'est gai :-)

dimanche 21 septembre 2008

Les produits d'urgence

Un supermarché près de chez moi possède un robot-distributeur de produits de 1e nécessité, à l'extérieur. Un petit, car c'est un supermarché de poche.

D'un côté, le sucré: parmi les biscuits, jus d'orange, gauff' au suc... se trouvent les capotes (pas sucrées). Bon, ok, je comprends.

De l'autre côté boissons et salé: limonades pour sportifs, Fristi, Cécémel et à côté des Aïki Noodles... le Nutella!!!

Non seulement le Nutella est dégueu avec des nouilles +- chinoises, mais depuis quand est-ce que c'est un produit de 1e nécessité? :-D

Elles sont bien, ces deux "anomalies de vitrine" :-)

mercredi 2 juillet 2008

Je m'énerve moi-même...

Bon, apparemment, il n'y a pas bcp de monde qui passe ou qui laisse un message... Pas grave :-)

Mais par contre, voilà, je me tape un peu sur le système ces temps-ci: parce que je ne me suis pas réservé de vacances et ne peux m'en prendre qu'à moi-même. Parce que je travaille beaucoup trop et qu'il faudrait plutôt profiter du soleil. Parce que, ce soir, je comptais aller chez Atoutazart, et que je suis restée mariner trop longtemps devant la télé. Par après, parce que je reste marner trop longtemps devant le PC, alors que je suis fatiguée. Parce que je ne sais pas ce qui se passe avec mon nouveau collègue: je ne parviens pas à le regarder normalement, sereinement. Il me perturbe, certains jours. En même temps, ça ne ressemble à aucune situation que j'ai connue. Mais lui ressemble à un gars que j'ai connu.

Et si je ne sors pas chez Atoutazart ou ailleurs, comment tu veux que je rencontre des gens, nom de fiolle??? Je suis à frapper... à manger du foin... (mais suis aussi fatiguée :-) )

Et l'autre jour, j'étais super contente de revoir mon ex.. Limite plus que quand on sortait ensemble. C'est quoi, ce stuut?

Il est temps que je refasse du sport...

Qui pourrais-je rajouter à la liste des beaux mecs? Ah, le coiffeur de la gare du Midi. Fabrizio Rongione, Adrien Brody, Arnaud L., Cédric-Jean B, Eric W., Kilian, Paulot (mon rêve de cette nuit... rare et doux).

Mais tout cela reste assez lointain... :-/ En fait, je suis méga-libre, et je devrais en profiter. Il manque juste un peu de "couilles" (c'est bien de ça qu'il s'agit, me direz-vous :-P)

Allez, bien le bonsoir; ça m'a fait du bien de rigoler un peu :-)

dimanche 25 mai 2008

Anybody in here?

Il y a quelqu'un? Is there anyone reading my blog? Is er iemand? Está alguien?

Si vous passez par ici, laissez un commentaire svp! :-) Laissez une trace dans l'Histoire... et moi ça me permet de savoir qu'on me lit parfois. Merci!

If you've been reading this, please leave a comment, so that I know my notes sometimes travel... Thx a lot

Le type de la sécu du M*ngo Porte de Namur est trop beau!

... enfin, du moins celui qui y était ce samedi après-midi... Je suis bien consciente que les men in black se succèdent à ce poste, alors je précise le moment pour éviter les méprises. Je n'aimerais pas qu'on se trompe sur mes goûts en matière de mecs.

Donc, le type de la sécu était canon. Tout comme mon gynéco, Laurent C., le type dans la file à l'aéroport, Vincent Delerm, les jumeaux B., Jean Dujardin, Lionel, Lieven, Corto Maltese... Comment ça, "ils se ressemblent à fond"? Mais non mais non.

Un peu différent, le bassiste de Camping Sauvach' aussi.
Liste à compléter...

Y en a qui ne doutent de rien

Pour preuve, allez voir le commentaire au post ci-dessous, celui qui est extrêment riche en contenu et vocabulaire recherché... Ca, c'est un type qui aura vraiment tout essayé pour référencer son blog :-)

Bien essayé, vieux, persévère! :-)

mardi 18 mars 2008

Statut 3

Beuheuheuheuheuheu !

NB: c'est paradoxal

Je sais que certains envient la liberté qu'on a en tant que célibataire. Ca se défend. Mais ça ne remplace pas tout. (suite à un prochain numéro)

Ne perdons pas nos illusions ;-)

Voilà ce que c'est: on commence un blog en se disant qu'il sera plus intelligent que d'autres, tourné vers des sujets d'actualité ou de société, et pas limité à un petit "moi" qui y trouverait un espace (-disque) pour s'épancher. Et 6 mois plus tard, on se retrouve à y pleurer toutes les larmes de son corps, à crier en "Trebuchet" ce qu'on voudrait hurler en décibels, bref, à se répendre, se répandre, à s'étaler pour un public toujours aussi hypothétique et inconnu. A faire comme les autres, quoi; comme ces autres bêtes blogs aux couleurs fluo, écrits en langage "sms", dans un français à peine reconnaissable, et qui lancent des "mon amour", "t super", "un gros bizzzzz à toi". Quelle pitié...

Mais c'est la vie, c'est la technologie, et je pourrais faire pire: aller m'étaler sur Facebk! Parce que là au moins, la pub est inclue! La pub pour mes petites sérénades, s'entend. D'où, un lectorat potentiel plus élevé. Maaaais ce blog a le gros avantage d'être anonyme. C'est qu'on a sa pudeur, tout de même.

Je commencerai donc enfin, en disant que, globalement, ça va mieux: j'ai presque pardonné mon dernier ex, en tout cas je suis parvenue à le voir sans chialer et sans déchirement affectif trop grand. C'est quand même un gros égocentrique. Et narcissique, avec ça; il s'affiche sur Fcbk, lui. Enfin, passons: un de ces jours, il faudra que je rédige un gros article sur les implications sociales de Fcbk, c'est super intéressant.

Mon avant-dernier ex était resté un copain proche, toujours l'oreille attentive et le calendrier disponible. J'ai eu peur qu'on se soit perdus, suite à un sms un peu ambigu (encore de la communication), mais ce n'est pas le cas, ouf. Ici, pas d'ambiguité, dans le sens où je crois qu'on sait tous les deux qu'on n'aurait pas d'avenir en couple. Et pourtant. Ce soir, re-sms ambigu, que je reçois, cette fois. Où il est question de période bizarre et de "rester potes"... D'habitude, c'est moi qui en dis trop ou pas assez! Ca fait tout bizarre. Je n'aime pas ce flou. Et en fait, ça me chipote qu'il se case. C'est pas de l'égoïsme pur, c'est peut-être que la situation précédente me convenait bien. C'est plutôt de la jalousie, j'avoue. Des deux côtés: 1) que qqn me remplace; 2) qu'il soit moins disponible; 3) que quelqu'un se case (qd je ne le suis pas).

Car c'est bien là le noeud du problème: ça m'énerve de voir tous ces gens en couple autour de moi (enfin, ça dépend des jours)! Des couples qui marchent, en plus. Quoi, pourquoi eux et pas moi? Quel est le problème? Moi aussi, je veux des câlins, à recevoir et à donner, qqn à qui penser et faire plaisir, avec qui partager 1001 choses et offrir un immonde petit ourson en peluche gris de chez Expo. La nouvelle vague, parmi mes potes, ce sont les gosses (les mariages ayant été globalement répartis sur l'an passé). Soit on a déjà un gosse et éventuellement on en ajoute un, pour le fun, soit le premier va débarquer bientôt. Ou alors, c'est un projet bien présent mais bien géré car le boulot passe d'abord, pour une période déterminée. Pire, re-voilà l'incertitude: la fille qui, au resto, boycotte les crudités qui accompagnent son plat! Alors: habitude hygiénique ramenée des pays chauds ou évitement de la toxoplasmose?

Ces derniers jours, j'ai retenu 2 conversations. L'une était un récit comparatif de deux mariages, mis en musique par les deux couples en question. Amusant de remarquer qu'une convive, récemment mariée et dont le mari n'était pas là, n'a presque rien dit. L'autre conversation rassemblait une toute jeune maman pour la 2e fois, une pour qui "c'est pour dans 3 semaines" et une qui y pense et se pose encore des questions, notamment d'ordre biologique. Je ne vous dis pas la salle d'op' virtuelle que c'était, cette rencontre. On passait allégrement de l'allaitement à la préparation des biberons, en relatant avec force détails les accouchements des uns et des autres. Pas besoin de forceps, ça venait tout seul. Péridurale, poche d'eau, placenta, 12 heures, anesthésie, déchirure, césarienne, cordon ombilical, liquide amniotique, couveuse, bassin, dilatation, salle de réveil, tête en bas... Il y en avait tellement que je commençais à tourner de l'oeil (moi qui supporte de moins en moins la vue de tissus humains démolis ou à ciel ouvert). Qu'est-ce que vous voulez que je raconte pendant ce temps-là? Que j'ai été voir le dernier Sean Penn, ou Virginie Ledoyen? Que la musique à la soirée d'hier était excellente? Que je les invite toutes à un concert rock la semaine prochaine? Je veux bien participer un peu, mais à un moment, ça cale.

Je lance donc un sanglot virtuel, en ajoutant que c'est vraiment trop injuste d'être différente ou à un stade différent, dans ces domaines-là. C'est pénible, ça fait mal de voir le bonheur des autres quand on rame soi-même et que quelqu'un vous manque. En plus, ça devient comme dans la chanson: "chaque fois que l'on s'écrit, c'est qu'il nous vient un enfant". Cool, les potes. C'est terrible, cette époque où tout un réseau s'écroule: ça commence par l'éloignement géographique, puis le boulot qui prend bcp de temps, puis la famille.

Certains me trouvent très occupée; ne vous y trompez pas, c'est du remplissage. Je prends tout ce qui passe et m'intéresse pour combler les trous de l'agenda. De préférence les activités avec possiblités de rencontre. Mais faut pas se leurrer non plus: je ne vais pas super bien pour le moment, et ma disponibilité affective s'en ressent. C'est dommage, mais je travaille à un mieux. Comment? je ne sais pas trop, mais j'essaie. C'est du boulot mais ça a marché précédemment, alors il y a espoir.

mardi 26 février 2008

Le silence est d'or: mon cul!

Il paraît que "je suis quelqu'un de très expressif". Je l'ai entendu tout à l'heure. Ouais, eh bien, je ne m'exprime soit pas assez, soit pas de la bonne manière!

Mon histoire, c'est celle de la fille qui attendait le bon moment pour dire ce qu'elle pense, ce qu'elle a sur le coeur: le bon moment dans la conversation, la bonne transition d'un sujet à l'autre, la bonne lumière, le vent dans le bon sens... Et bien sûr, ce bon moment vient rarement. De toute façon, je pense tellement à glisser ce que je veux dire que je n'ai plus assez de neurones pour guetter le bon moment et prendre la parole s'il arrive. Résultat: expression = zéro et la transmission d'info est reportée à une date inconnue, voire abandonnée car "ce ne sera hors sujet" ou "il n'y aura plus de raison d'en parler".
Pire, toutes ces infos en rade forment une espèce de croûte qui commence tout doucement à se putréfier. Déjà, une couche imperméable, comme un K-Way, ça gêne. Mais un K-Way qui pue, ça devient carrément malsain. Et encore, un K-Way, c'est souple. Mais la croûte terrestre, c'est bien rigide.

Conclusion: des choses importantes attendent d'être prononcées, de rattraper le temps perdu, et de me donner donc un peu d'air! Il ne me faudrait pas grand-chose pour y arriver, mais c'est encore trop.
La solution "ex machina", ce serait que les destinataires des infos viennent me demander ce que j'ai à leur dire. Ca aiderait. Ce serait un peu comme consulter mon site web imaginaire ou demander de l'info ciblée, s'abonner à un flux RSS... Mais bien sûr, ça arrive encore moins que les "bons moments" de tout à l'heure.

Cette généralisation est tout à fait valable. Mais évidemment, il y a une personne cruciale dans le circuit. Dire 2-3 mots me ferait déjà du bien. Et je ne parviens pas... Alors bêtement, gaminement, ce blog est aussi une bouteille à la mer. En attendant d'oser.

vendredi 22 février 2008

Status 2

De poembak is kapot

lundi 11 février 2008

Statut 1

Mathilde va passer le Selor. Gelieve Nederlands te spreken.

Mon statut à moi

Sur un certain grand réseau très populaire, on peut indiquer en bref ce qu'on fait ou comment on se sent. Ils appellent ça le "status".

Eh bien, moi, je démarre le "status" de blog, tiens! Pourquoi se limiter à Facebik, hein?
Et je démarre illico...

mercredi 16 janvier 2008

Bon, ça va un peu mieux...

Alors on s'offre un bon Thomas Fersen, clin d'oeil à son récent et excellent passage en Gelbique:

vendredi 11 janvier 2008

Je t'aimais, je t'aime...

... et j'ai intérêt à ne plus t'aimer
si je veux profiter de la vie, moi aussi.

Ca me fend le coeur et ce n'est pas demain que j'aurai oublié.