lundi 15 novembre 2010

Vous ai-je déjà parlé du réveillon de l'an passé et de cette chanson terrible, "Jesus he knows me"? Eh bien, faudra que je le fasse.

Séries d'enfance à rechercher

- L'enfant venu d'ailleurs (alias Chocky, en EN)
- Frank et Fu Yang
- Le petit vampire
- Les jumeaux de l'espace ? (enfin, truc-chose, là)
- Opération Mozart (comment s'appelait le héros, le pote de Marco?)
- Mystère et bulles de gomme
- Tom Sawyer version "série en chair et en os"
- Les tripodes (ça c'est déjà fait)

samedi 6 novembre 2010

Les pièces détachées préférées

J'aime toujours bien les garçons avec les cheveux longs, surtout et surtout s'ils sont bruns, et encore plus si c'est en queue de cheval. ^^ J'aime bien aussi les nez "cassés", bossus, c'est d'un beau... Et alors, le détail incroyable: le dessin des avant-bras... Un beau bras, je ne sais pas si ça veut dire symétrique, rectiligne, triangulaire ou un peu de tout ça, mais ça peut me rendre dingue. Et si, en plus, le mister a le bon goût de bien choisir sa chemise et d'en retrousser les manches... Argh.

Pour couronner le tout, le 2e détail caché: l'angle extérieur à la jointure du pouce et de la main (= ce qu'on voit notamment quand on ferme le poing). Il faut qu'il soit carré, ou bien marqué. C'est un petit détail, mais qu'est-ce que ça peut être puissant... Des grandes mains, c'est déjà beau, mais alors avec ça, même des petites gagnent 90% de charme.

Voilà, suis pas compliquée, non non. D'ailleurs, une paire d'yeux noirs, c'est déjà très très très bien :) Rajoute des sourcils foncés, en angle obtus, comme chez Laurent J. Et alors quelques poils, à la poitrine et/ ou aux bras; quantité au choix, en fonction de la silhouette et du reste du monsieur.

Et une jambe, juste tout en muscles, qu'est-ce que c'est beau. En-dessous du genou, ou la cuisse avec. C'est solide, régulier, c'est beau dans sa simplicité faite juste de muscle et de peau. Ça appelle la main, ou les deux. J'aime bien les fesses aussi, mais mes préférées sont difficiles à décrire: nerveuses, précises et contenues, oui, mais certainement pas trop étroites par rapport au tronc, non non non. Ce serait le sommet du mauvais goût. Voilà en bref, quoi. Il faudrait aussi parler du sourire, mais c'est difficile et variable aussi.

Et le 3e détail qui tue: les cheveux fraîchement coupés. Une nuque nette, en courbe ou droite, qui sort de chez le coiffeur, c'est... émouvant à en pleurer. Ca appelle le doigt, au moins. Signe de propreté, d'attention à soi, d'action... Ca valorise tout le reste. Et ça laisse un peu plus de peau libre :)

J'ajouterai: les tempes sont cruciales dans tout ça. Il FAUT des cheveux avant l'oreille. Avec des pattes judicieusement fournies, on me met en bouteille! En 3 mouvements, je ne réponds plus de rien, on me colle ou me couche, c'est selon.

Messieurs, avis aux amateurs! :)


Si ça se trouve, tous mes détails préférés mis ensemble donneraient peut-être quelque chose de raté ou de déséquilibré, pour le moins.

Plus que deux mois

... et ce seront les fêtes! En revoyant des photos, je remarque que j'ai passé ces derniers Noël dans les mêmes couleurs, et limite dans les mêmes vêtements. Faudrait que ça change, qd même.

dimanche 22 août 2010

jeudi 22 avril 2010

Le croissant

Il y a des jours où un simple bon croissant au beurre, à la jolie courbe, doré à point, brillant... croustillant à l'extérieur, moelleux à l'intérieur... doux, fondant, caressant... où un simple croissant, donc, suffirait à me faire jouir.

mercredi 21 avril 2010

Etienne Daho - Tombé pour la France

Pour la route: un truc posté sur mon compte Face il y a peu. Passons au-delà de l'image: "un coup de barre, Daho, et ça repart".

Les affaires courantes: la suite

(réponse au post précédent)
Affaires courantes, affaires courantes, mon oeil :-) Y a plus rien qui court, oui! Si ce n'est moi-même :) Quoique je cherche une direction. Pour le moment, c'est plutôt l'option "poulet sans tête", comme dirait Th. Fersen. J'ai jamais eu la tête tant hors des épaules que cette fois; c'est saisissant! Je laisse tomber des objets, en casse d'autres, me perds en voiture dans la Flandre profonde car mon sens de l'orientation part en vrille... Je comprends rien :) Pourvu que ça ne dure pas.

Bon, le régime est en cours, ça oui; on peut voir et mesurer les premiers effets. C'est bien, c'est bien.
Et Mathilde continue de se prendre des claques dans la gueule, du genre "même untel que j'aurais jamais vu casé, eh ben il est casé". A peu près persuadée d'être la dernière perdue sur terre... I'm a poor lonesome cowboooy... Mais comment font-ils? Que font-ils (ou pas)? Où est le problème? Tell me why! (haha, la bonne blague ci-dessous :) )



Pour la prochaine vidéo, il faudrait un morceau qui représente bien la permanence des choses, le non-changement, voire le tournage en rond: je me navre moi-même de toujours raconter la même chose sur ce blog (ce n'est pas faute de vouloir; le pied serait de ne même plus avoir le temps d'écrire). J'ai pensé à "C'est toujours la même chose, même chose, même chose", de Sttellla, mais pas trouvé gratuit sur le net.

Qui a une idée?
Je vais "dormir un peu là-dessus" et on verra. @ peluche!

dimanche 14 mars 2010

Le point sur l'actu

Faisons le point sur les affaires courantes: toujours rien dit ou demandé à Olivier, par contre suis de plus en plus accro ^^. J'aime bien ^^. Le contexte dans lequel on se voit est un peu stressant, je trouve; pas idéal pour parler ou pour se "sentir", donc. Il me reste une occasion, vendredi. Je vais m'arranger pour que ce soit bien lui qui traite mon cas et pas une stagiaireke. Mathilde prend les choses en main :) I like him, quand j'y repense. Corps de rêve ou presque, mmmmh :)

Le reste: panade intégrale. Et en relisant mon blog depuis le début, je vois que peu de choses ont changé. Horrible! Toujours à me fatiguer devant le PC, à sortir pour rencontrer des gens, avec un résultat moins que moyen, et à me demander comment je pourrais bien faire pour satisfaire un besoin criant de câlins. Horrible, horrible, le besoin de bisous...

Mon projet: téléphoner demain pour prendre rendez-vous chez une diététicienne. "Bien dans son corps, bien dans sa tête!" ;)

De l'intérêt des albums photo

En regardant des vieilles photos de moi (pas si vieilles, donc  :) ), je me dis que ma famille et quelques amis-connaissances de longue date sont la plus belle preuve d'amour qui existe: ma tronche entre 10 et 19 ans m'effraie à chaque fois. Il faut donc que j'aie d'autres atouts considérables et que les gens qui m'ont côtoyée sans trop d'efforts à l'époque parviennent très fort à voir "à l'intérieur"!
On peut aussi se demander comment j'aurais réagi si je n'avais pas été moi à cette époque, et si j'avais rencontré le moi que j'étais. Questions métaphysiques que j'aime assez. Enfin, les faits sont là, et je me déplais moins en photo maintenant, c'est déjà très bien!

vendredi 12 février 2010

Journée de merde

Putain, Olivier! Mais merde! C'est pas des coups à faire aux gens, ça! Raaaaah... Imagine le truc: la semaine passée, à trois reprises, tu me fais miroiter des choses; tu sèmes le doute. Tu sais que ça crée la surprise, et je la prends de plein fouet. Et ne me dis pas que tu ne le sais pas, que ça t'a échappé, que tu n'y pensais pas;  j'en douterais. Dès la minute suivante, chez moi, ça digère la surprise, ça cogite, ça s'interroge. Des idées prennent forme, persistent et me réjouissent. Je passe 5 jours de délicieuses interrogations, d'impatience fébrile d'en savoir plus, de te trouver dans une 2e joute pour... savoir et savoir comment je vais réagir. Et pour profiter du moment aussi. Jusqu'à la veille, je me prépare minutieusement au rdv. Et finalement... rien! (je tairai les 2 derniers jours où le monde professionnel a un peu repris le dessus)

Je débarque au rdv et, ô suprise, I see ze stijf stagiaire de l'autre fois que tu avais à peine présentée. Je sens l'embrouille, la déception. Quoi, tu devais partir plus tôt, j'ai raté un appel qui proposait d'avancer le rdv? Foutue réunion qui m'avait accaparée le matin... Merde. Pour une fois qu'un événement mignon, doux, intrigant s'annonçait, il faut qu'il m'échappe! Tellement frustrant, décevant...
Mais contre mauvaise fortune, joyeux visage (ou presque), un des buts étant de me faire soigner. Allez, zou, on fait confiance à la stagiaire, on n'a pas le choix, d'ailleurs. Débutant ou confirmé, ils ont apparemment l'habitude d'utiliser leur jargon avec les patients, qui n'y comprennent goutte... Voilà qui est intéressant. Finalement, la madame pose un diagnostic qui m'a l'air bien pertinent, j'espère qu'elle t'en fera part. Paraît que je suis bien plus souple à gauche qu'à droite. Dingue. Faudra voir ça.
Au hasard de la consultation, pour expliquer les coulisses de l'organisation du jour, tombe l'expression que "tu aurais voulu me voir", médicalement évidemment, et avais donc essayé de changer l'heure. Intérieurement, j'ai quand même trouvé l'expression marrante :) Et "je compte sur la miss pour voir le diagnostic avec Olivier D.".

Vacances aidant, on se reverra dans 15 jours. What the fuck. Parce que tu crois que je peux vivre 2 semaines de suspense pareil, sans savoir si je dois me réjouir ou pas? Qu'est-ce qu'il restera de Claude François à ce moment-là? Qu'est-ce qui t'occupera l'esprit d'ici là? Est-ce que tu te poseras aussi 100 questions, ou est-ce que tu auras déjà oublié ce qui n'était que le fruit du hasard? d'une fatigue qui fait dire un peu n'importe quoi? Je râle, je râle. Ca valait bien la peine de mourir d'impatience et d'espoir pendant une semaine. Je prévois donc une extension de planning, mais ce ne sera plus tout à fait aussi gai; jusqu'au vendredi, je crois.

Ma conclusion: ne jamais se faire d'idées: elles ne se réalisent pas, ou parfois, mais de toute façon différemment. C'est une bien triste prescription, et difficilement réalisable, je crois. Mais c'est la conclusion temporaire de l'histoire, en attendant l'épisode suivant.


Éclaircissements de notre correspondant:
Il se peut que tout ceci soit une divagation digne de Barbara Cartland, auquel cas l'auteur présentera ses excuses, culpabilisera et désespérera un peu. Les motivations de cette histoire sont fort probablement un peu de curiosité, une envie de découverte, de partage, d'aventure, de tendresse aller-retour, de câlins, de contacts physiques, d'humanité. Peut-être un besoin d'être rassuré ou de vivre une expérience assez courante parmi ses congénères. Les épisodes suivants devraient permettre de préciser la chose.

(et en plus, les 3h de réunion de la matinée avaient été fatigants, pénibles, attristants, et je me réjouissais de la pause. Même pas eu le temps de manger avant de me mettre en route).

> soupir <

dimanche 7 février 2010

14 février dans une semaine...

... et cette année, on s'en fout, c'est un dimanche. Veille de lundi, on va donc pas se fatiguer à trouver un plan bouche-trou du tonnerre pour ce soir-là, puisque ce sera une bonne occasion de commencer la semaine en pleine forme :)

Tout est à l'intérieur

Mathilde est fière de sa féminité. Limitée peut-être, pas criante ni standard non plus, mais bel et bien présente. C'est doux, c'est chaud, ça sort quand on en a besoin. Et Mathilde s'en servirait bien pour faire un câlin. Et Mathilde est contente.

Intéressé(s)?

Mathilde intéresse des gens, on dirait. C'est assez perturbant; ça faisait longtemps, ça pose plein de questions. Et puis, ce ne sont pas ceux à qui on penserait directement ou qu'on espérerait. Argh, it's a hard life! :)

Cela dit, dans certains cas, c'est plutôt agréable. Et puis, y a des ptites choses mignonnes qui entourent tout ça, ça décore les journées (encore bien grises de fin d'hiver) ^^. Impatiente de voir la suite vendredi!



Vidéo: "Tous les garçons et les filles", Françoise Hardy.

lundi 25 janvier 2010

Parfois, les chambranles font des amants de passage très valables.