dimanche 9 décembre 2007
Dans notre série: "C'est fou"...
En passant: savez-vous réellement ce qu'est un "dimsum", délicieux monument de la cuisine internationale s'il en est? Les détails et la signification de ce petit surnom rythmé sont ici. C'est bon, c'est chaud, c'est Wikipedia qui le dit.
samedi 8 décembre 2007
Marre! Ca ne va plus! Je veux recevoir des mails, des messages sur "FacedeBik", des propositions de sorties, des câlins... J'veux d'l'amour!, comme disait Raymond Van het Groenewoud dans les '80s (et mtnt c'est une pub pour de la téléphonie).
Aubergiste, holà! Sers-moi un coup de tendresse bien frappé, stp. (quoi, c'est contradictoire, d'après vous?)
Bon, je ferais ptet bien d'aller me coucher. Avant d'aller voir Blueberry Nights.
Aubergiste, holà! Sers-moi un coup de tendresse bien frappé, stp. (quoi, c'est contradictoire, d'après vous?)
Bon, je ferais ptet bien d'aller me coucher. Avant d'aller voir Blueberry Nights.
vendredi 26 octobre 2007
Musique pas piquée des caribous
Hier, au hasard d'une séance d'étirements tout en souplesse, découverte d'une chanteuse québecquoise, Jorane (parce que son CD passait, pas parce qu'on a souffert ensemble en faisant travailler nos quadriceps). La chanson en question est "Evapore", assez vaporeuse, justement. 30 secondes sont dispos ici: écouter Evapore. Vous n'entendrez pas les premiers mots, carrément canons: Je voudrais que l'on m'évapore/ Pour qu'il pleuve sur toi des gouttes/ Des gouttes d'amour.
Ah, c'est pas de la poésie à 2 balles de banlieue française, ça. Ce n 'est pas non plus de la chanson à texte (y a peu de mots), c'est de la chanson d'ambiance qui mérite de l'attention. Et voilà un déluge de liens pour en savoir plus:
- le site de Jorane, carrément une galaxie: http://www.jorane.com/
- Le clip de "Pour ton sourire" sur Youtube
- Le clip de "I feel love", version rock band, par la même demoiselle
Ah, c'est pas de la poésie à 2 balles de banlieue française, ça. Ce n 'est pas non plus de la chanson à texte (y a peu de mots), c'est de la chanson d'ambiance qui mérite de l'attention. Et voilà un déluge de liens pour en savoir plus:
- le site de Jorane, carrément une galaxie: http://www.jorane.com/
- Le clip de "Pour ton sourire" sur Youtube
- Le clip de "I feel love", version rock band, par la même demoiselle
vendredi 19 octobre 2007
Il fait glacial! Bien 11 degrés. Prévisions à l'IRM. J'ai ressorti ma grosse veste; c'est l'hiver, à plus d'un titre.
lundi 8 octobre 2007
Un peu de bota
Il a fait beau ce week-end, une balade au vert s'imposait! -c'est bien fait qd même, on n'a presque que des beaux w-e, cet automne.
J'ai donc risqué ma peau dans la forêt la plus proche, j'ai nommé la forêt de Soignes. Pourquoi "risqué ma peau"? Vous allez voir.
Au début, tout allait bien: environnement nouveau, super calme, découverte des merveilles de la nature qui nous deviennent tellement étrangères dans ce monde de brutes, gambadage admiratif ébahi sous un rayon de soleil chatouilleur (séquence "bambi")...
J'ai entre autres rencontré des champignons, qu'on ne peut plus cueillir pour préserver la biodiversité, c'est marqué à l'entrée. Jusqu'à ce qu'un bruit inquiétant me surprenne: un bruit de chute permanente à travers le feuillage de ces milliers de hêtres (qui, eux, sont vachement bons pour la biodiversité ;-) ). Qu'était-ce? Ecureuils épuisant leur réserve de noisettes? Pire: pigeons, mésanges et autres se relaxant après un festin? Je craignais déjà pour ma tête.
Puis, j'ai trouvé: le sol disparaissait presque sous les fruits des hêtres qui biodiversent un peu partout (voir photo, avec la feuille pour donner l'échelle) et qui sont comestibles, à ce qu'il paraît. Enfin, quand il y a qqch dedans. Bref, j'ai slalomé jusqu'à la prochaine zone de buissons, en me mordant les doigts d'avoir pris mes grosses godasses au lieu d'un casque de chantier.
Au passage, une pépinière; peut-être celle de Pampers ou de Metro, qui tentent de se racheter de leur consommation effrénée de papier en refournissant un coup la biodiversité.
L'heure avançait et, la verdure, on n'a pas que ça à faire non plus. Je me mis donc en devoir de trouver la sortie. La sortie... Ca y est, j'étais comme Blanche-Neige, la Belle au bois dormant, l'autre Belle (celle de la Bête) et toutes les autres: lost in the middle of nowhere, à portée de tout grand méchant loup. Pas la moindre rivière pour indiquer une direction, comme dans le Blair witch' project. Gloups. En plus, on est en automne, le soleil se couche plus vite... Le soleil.
Comme j'ai qd même un peu lu dans ma vie, j'avais regardé sur un plan, avant de me risquer en zone verte, où j'entrais, vers où j'allais et par où je devrais globalement me diriger pour sortir. En gros: vers l'ouest, vers le soleil. Ca donnait la coordonnée X, il fallait encore l'Y. Et puis, de chemin des Merles en sentier des Mésanges, difficile de voir derrière le hêtre d'en face...
J'ai donc fait appel à mes connaissances de scout livresque et essayé de me rappeler comment trouver le nord avec le soleil et une montre. Bon, ce n'est pas d'après l'ombre d'un bâton planté dans le sol, ça c'est pour l'heure. Alors, je prends l'heure qu'il est, je déduis l'heure d'été, je touuuurne le cadran pour aligner le chiffre obtenu sur le soleil... et je trouve exactement le sud-sud-ouest. Raté. (la solution fera l'objet d'un prochain post) Seule solution pour marcher toujours +- dans la même direction: marcher vers le soleil. Dont acte, et après de longues minutes d'interrogation ambulatoire, je finis par entendre dans le lointain le bruit d'une route! Bon, la forêt est entourée d'autoroutes, ok. Mais j'étais du bon côté. J'ai qd même vérifié auprès d'indigènes fort aimables, parce que j'avais atterri dans un coin de la chaussée de la Hulpe où la Stib met de temps en temps le pied. Fort joli mais bien loin de la civilisation, qd même. Genre petites maisons avec un chat à la fenêtre. Je me suis ruée sur le 1er shop de pompe à essence ouvert, histoire de m'offrir un petit remontant en retournant vers mon point de départ, bien loin de la biodiversité, finalement.
J'ai donc risqué ma peau dans la forêt la plus proche, j'ai nommé la forêt de Soignes. Pourquoi "risqué ma peau"? Vous allez voir.
Au début, tout allait bien: environnement nouveau, super calme, découverte des merveilles de la nature qui nous deviennent tellement étrangères dans ce monde de brutes, gambadage admiratif ébahi sous un rayon de soleil chatouilleur (séquence "bambi")...
J'ai entre autres rencontré des champignons, qu'on ne peut plus cueillir pour préserver la biodiversité, c'est marqué à l'entrée. Jusqu'à ce qu'un bruit inquiétant me surprenne: un bruit de chute permanente à travers le feuillage de ces milliers de hêtres (qui, eux, sont vachement bons pour la biodiversité ;-) ). Qu'était-ce? Ecureuils épuisant leur réserve de noisettes? Pire: pigeons, mésanges et autres se relaxant après un festin? Je craignais déjà pour ma tête. 
Puis, j'ai trouvé: le sol disparaissait presque sous les fruits des hêtres qui biodiversent un peu partout (voir photo, avec la feuille pour donner l'échelle) et qui sont comestibles, à ce qu'il paraît. Enfin, quand il y a qqch dedans. Bref, j'ai slalomé jusqu'à la prochaine zone de buissons, en me mordant les doigts d'avoir pris mes grosses godasses au lieu d'un casque de chantier.
Au passage, une pépinière; peut-être celle de Pampers ou de Metro, qui tentent de se racheter de leur consommation effrénée de papier en refournissant un coup la biodiversité. L'heure avançait et, la verdure, on n'a pas que ça à faire non plus. Je me mis donc en devoir de trouver la sortie. La sortie... Ca y est, j'étais comme Blanche-Neige, la Belle au bois dormant, l'autre Belle (celle de la Bête) et toutes les autres: lost in the middle of nowhere, à portée de tout grand méchant loup. Pas la moindre rivière pour indiquer une direction, comme dans le Blair witch' project. Gloups. En plus, on est en automne, le soleil se couche plus vite... Le soleil.
Comme j'ai qd même un peu lu dans ma vie, j'avais regardé sur un plan, avant de me risquer en zone verte, où j'entrais, vers où j'allais et par où je devrais globalement me diriger pour sortir. En gros: vers l'ouest, vers le soleil. Ca donnait la coordonnée X, il fallait encore l'Y. Et puis, de chemin des Merles en sentier des Mésanges, difficile de voir derrière le hêtre d'en face...
J'ai donc fait appel à mes connaissances de scout livresque et essayé de me rappeler comment trouver le nord avec le soleil et une montre. Bon, ce n'est pas d'après l'ombre d'un bâton planté dans le sol, ça c'est pour l'heure. Alors, je prends l'heure qu'il est, je déduis l'heure d'été, je touuuurne le cadran pour aligner le chiffre obtenu sur le soleil... et je trouve exactement le sud-sud-ouest. Raté. (la solution fera l'objet d'un prochain post) Seule solution pour marcher toujours +- dans la même direction: marcher vers le soleil. Dont acte, et après de longues minutes d'interrogation ambulatoire, je finis par entendre dans le lointain le bruit d'une route! Bon, la forêt est entourée d'autoroutes, ok. Mais j'étais du bon côté. J'ai qd même vérifié auprès d'indigènes fort aimables, parce que j'avais atterri dans un coin de la chaussée de la Hulpe où la Stib met de temps en temps le pied. Fort joli mais bien loin de la civilisation, qd même. Genre petites maisons avec un chat à la fenêtre. Je me suis ruée sur le 1er shop de pompe à essence ouvert, histoire de m'offrir un petit remontant en retournant vers mon point de départ, bien loin de la biodiversité, finalement.
mercredi 3 octobre 2007
Le clip qui tue
"La ceinture", par Elodie Frégé. Argh.
Benjamin Biolay à l'écriture/ compo, Jaco Van Dormael à la réal du clip. 1000 respects et bisous.
Essayez de voir sur yahoo, ici.
Benjamin Biolay à l'écriture/ compo, Jaco Van Dormael à la réal du clip. 1000 respects et bisous.
Essayez de voir sur yahoo, ici.
lundi 1 octobre 2007
Lasciatemi cantare
Je ne sais pas pour vous, mais moi j'ai passé un super week-end, de vendredi à hier soir, et je me suis retrouvée ce matin dans la rue à chantonner ce classique de la canzone en allant au boulot. Un lundi matin, tôt, il faut le faire :-) Il faisait sec, pas trop froid, tout bon, quoi! Et donc, quelque part, oui, les quelques passants me "laissaient chanter", haha.
Mais que s'est-il passé, me direz-vous, pour que je me levasse de si bon pied? Plein de zique, des ptites courses à l'aise, du soleil hier, des gens que je n'avais plus vu depuis longtemps et qui, décidément, me sont très sympathiques. Notamment une très bonne soirée hier, rien de compliqué mais tout ce qu'il faut, total decontraccíon en bonne compagnie ^^ (que je ne citerai pas, car je veux rester anonyme, c'est bien connu).
Voilà qui devrait intéresser les quelque 2 lecteurs de ce blog! J'en dirai plus bientôt -on dirait que je prends goût au bloggage. En attendant, allez déjà voir http://www.crevettedacier.com/. Bon ap'!
Mais que s'est-il passé, me direz-vous, pour que je me levasse de si bon pied? Plein de zique, des ptites courses à l'aise, du soleil hier, des gens que je n'avais plus vu depuis longtemps et qui, décidément, me sont très sympathiques. Notamment une très bonne soirée hier, rien de compliqué mais tout ce qu'il faut, total decontraccíon en bonne compagnie ^^ (que je ne citerai pas, car je veux rester anonyme, c'est bien connu).
Voilà qui devrait intéresser les quelque 2 lecteurs de ce blog! J'en dirai plus bientôt -on dirait que je prends goût au bloggage. En attendant, allez déjà voir http://www.crevettedacier.com/. Bon ap'!
vendredi 28 septembre 2007
jeudi 27 septembre 2007
Fête de la Communauté française: profitons-en vite
Bon, le titre du post n'a rien à voir avec le reste.
Aujourd'hui, j'ai redécouvert pour vous le plaisir de la bonne "eurodance" des années 90, et là je dis ouiiiiii! :-) Pump up the jam, pump it up/ This is the rythm of the night, the night, woh yeah...
Là, je sautille, intérieurement au moins. Ca fait 12-14 ans, et j'en avais à peu près autant -ça marque à cet âge-là, madame! :-) Purée, on savait faire la fête simplement, quand même. Boum boum boum, pas de gros rappeurs-tchatcheurs à chaînes et bagues qui postillonnent sur Emtévé, pas besoin de grossièretés à la Michael Youn, le pieeeed.
Faut bien ça pour faire passer l'automne qui débarque -seulement en semaine, et pas encore le week-end, c'est bien fait :-) Et pour faire passer le surmenage du boulot. "Saturday night I feel the air is getting hot..."
J'ai un peu ressorti mes vieilles compils grâce à Sébastien Ministru, qui officie tous les matins à 7h55 heure belge sur Pure FM, que je vous recommande, bien sûr. Et le Seb passe le "bon disque du jour", un truc ringard, moche, oublié, kitsch, mauvais mais tellement bon, qui n'a rien à voir avec le reste de la progra, je vous rassure :-) Et il s'est mis en tête de faire une semaine spéciale "La Bouche": duo de l'époque, avec une poulette +- black qui "chante" presque aussi fort que Tzéline Dijon, et qui a marqué l'histoire avec... avec...? Les paris sont ouverts, envoyez-moi donc le titre-phare de La Bouche! On n'est pas interactifs pour rien, qd même :-)
PS: Pure FM a relifté son site, c'est vachement réussi
Aujourd'hui, j'ai redécouvert pour vous le plaisir de la bonne "eurodance" des années 90, et là je dis ouiiiiii! :-) Pump up the jam, pump it up/ This is the rythm of the night, the night, woh yeah...
Là, je sautille, intérieurement au moins. Ca fait 12-14 ans, et j'en avais à peu près autant -ça marque à cet âge-là, madame! :-) Purée, on savait faire la fête simplement, quand même. Boum boum boum, pas de gros rappeurs-tchatcheurs à chaînes et bagues qui postillonnent sur Emtévé, pas besoin de grossièretés à la Michael Youn, le pieeeed.
Faut bien ça pour faire passer l'automne qui débarque -seulement en semaine, et pas encore le week-end, c'est bien fait :-) Et pour faire passer le surmenage du boulot. "Saturday night I feel the air is getting hot..."
J'ai un peu ressorti mes vieilles compils grâce à Sébastien Ministru, qui officie tous les matins à 7h55 heure belge sur Pure FM, que je vous recommande, bien sûr. Et le Seb passe le "bon disque du jour", un truc ringard, moche, oublié, kitsch, mauvais mais tellement bon, qui n'a rien à voir avec le reste de la progra, je vous rassure :-) Et il s'est mis en tête de faire une semaine spéciale "La Bouche": duo de l'époque, avec une poulette +- black qui "chante" presque aussi fort que Tzéline Dijon, et qui a marqué l'histoire avec... avec...? Les paris sont ouverts, envoyez-moi donc le titre-phare de La Bouche! On n'est pas interactifs pour rien, qd même :-)
PS: Pure FM a relifté son site, c'est vachement réussi
mercredi 26 septembre 2007
Today's wisdom
There are about 10 kinds of people in the world:
those who understand binary and those who don't.
mardi 25 septembre 2007
La sagesse du jour 2
Un must:
Un tiens vaut mieux que deux tu l'auras
NB: toute hypothèse explicative est la bienvenue :-)
Un tiens vaut mieux que deux tu l'auras
NB: toute hypothèse explicative est la bienvenue :-)
lundi 10 septembre 2007
Le boa qu'on strie cor?
Un autre grand moment de mon existence! Mon 1er métro "boa", mis en service depuis quelques jours par notre bonne STIB! Je me suis évidemment empressée de parcourir la rame d'un bout à l'autre, vu qu'il n'y avait presque personne ^^.
Pour tous détails, allez voir le nouveau site de la STIB, excellent (et tout aussi rutilant que les nouvelles rames, huhu. Tiens, les rames, ça va bien avec la péniche...).
Bref, en ce qui concerne l'underground, je dis "vive les 70's" (rénovés) et leur orange sans faille. Elles ont une bonne bouille, les anciennes rames, pas comme les longs supositoires supersoniques (un quai entier, qd même) sortis de chez les maquettistes de George Lucas.
Pour tous détails, allez voir le nouveau site de la STIB, excellent (et tout aussi rutilant que les nouvelles rames, huhu. Tiens, les rames, ça va bien avec la péniche...).
Bon, c'est un peu flou, c'est la faute à Nyso. Mais voilà la face arrière du "boa-zar". C'est beau, hein? Et c'est bien gris, surtout, ça va bien avec les nouveaux tubes lumineux des stations réaménagées... C'est déjà comme les trams et bus: on ne les voit pas. Bon, le métro croise théoriquement moins de piétons, mais quand même.
Et dedans, me direz-vous? Eh bien, il faut avouer que ça fait plaisir d'avoir du neuf, tout blinquant. Mais dire que c'est beau, ce serait trop me demander. Du gris, du brun partout. De la lumière grise. Des poignées au plafond au lieu de mains courantes. Il paraît que ce sera mieux qu'avant. Mais je demande à voir ce que donnent les sièges "dos au quai" à l'heure de pointe!
Bref, en ce qui concerne l'underground, je dis "vive les 70's" (rénovés) et leur orange sans faille. Elles ont une bonne bouille, les anciennes rames, pas comme les longs supositoires supersoniques (un quai entier, qd même) sortis de chez les maquettistes de George Lucas.
Cela dit, ça roulait, et on sera heureux de constater que le numéro de la police est placé en évidence à chaque porte :-) Welcome to Brussels!
Les Ramasse-miettes ont le pied marin
Ce samedi, concert sympa dans un lieu un peu confidentiel de Bruxelles: la péniche Fulmar. Toute petite salle, forcément, puisque péniche, mais mérite le détour, pour sa progra et aussi pour les propriétaires, un couple âgé qui a repris les amarres de son fils décédé par accident. L'histoire de la péniche remonte bien plus loin que ça et vaut la peine d'être lue sur leur site.
Ouvrons l'oeil les 28 et 29 septembre: ils accueillent souvent des artistes dans le cadre des concerts "Chantons français".
Ouvrons doublement l'oeil et profitons de ce festival, parce qu'on ne sait pas combien de fois on pourra encore faire sa fête à la Communauté française!
Au fait, le concert était celui des Ramasse-miettes, groupe picard qui reprend de la chanson française, de Dutronc à Dassin, en passant par Arno, Fersen et des compos originales socialo-humoristiques. Il a fallu un bon échauffement à ces 4 multi-instrumentistes pour finir dans un délire total de cymbales et trombone sur "Bruxelles" (du Jacques qui signe aussi le titre de ce blog). Comme l'indique leur répertoire carrément hétéroclite, ils ne se prennent pas au sérieux, et je ne peux qu'approuver. Fortement conseillé, quoi.
Ouvrons l'oeil les 28 et 29 septembre: ils accueillent souvent des artistes dans le cadre des concerts "Chantons français".
Ouvrons doublement l'oeil et profitons de ce festival, parce qu'on ne sait pas combien de fois on pourra encore faire sa fête à la Communauté française!
Au fait, le concert était celui des Ramasse-miettes, groupe picard qui reprend de la chanson française, de Dutronc à Dassin, en passant par Arno, Fersen et des compos originales socialo-humoristiques. Il a fallu un bon échauffement à ces 4 multi-instrumentistes pour finir dans un délire total de cymbales et trombone sur "Bruxelles" (du Jacques qui signe aussi le titre de ce blog). Comme l'indique leur répertoire carrément hétéroclite, ils ne se prennent pas au sérieux, et je ne peux qu'approuver. Fortement conseillé, quoi.
mercredi 5 septembre 2007
Ca y est, j'ai mon blog. Le 2e, en fait. On verra combien de temps il restera en activité: je me suis toujours demandé comment on pouvait en même temps tenir un blog convenable et vivre assez de choses intéressantes pour le remplir. D'où: essai.
Vu l'actualité, j'aurais pu choisir un autre titre: "Elvis est revenu", ou "Lady Di est revenue". Mais le premier est devenu banal (Elvis vit sur une île) et le second, complètement improbable. Ou encore: "Un tas d'anciens ministres belges sont revenus", ceux d'Agusta and Co; mais un peu vague. Restons-en donc à cette allusion au patrimoine culturel du plat pays qui est le mien (ça y est, je fais de l'allusion pléonastique. Ou du pléonasme allusif).
Défi supplémentaire: nous sommes tous fichés, c'est prouvé. Surtout sur le web. Ce blog est une tentative de résistance et de non-fichage: le but est que je reste anonyme le plus longtemps possible. Pour le vulgus internautis surfator, s'entend. Encore une fois: essai.
Et voilà, il ne reste plus qu'à faire croire que ce blog sert à raconter des choses intéressantes, dans l'anonymat d'un pays sans gouvernement depuis 3 mois.
Vu l'actualité, j'aurais pu choisir un autre titre: "Elvis est revenu", ou "Lady Di est revenue". Mais le premier est devenu banal (Elvis vit sur une île) et le second, complètement improbable. Ou encore: "Un tas d'anciens ministres belges sont revenus", ceux d'Agusta and Co; mais un peu vague. Restons-en donc à cette allusion au patrimoine culturel du plat pays qui est le mien (ça y est, je fais de l'allusion pléonastique. Ou du pléonasme allusif).
Défi supplémentaire: nous sommes tous fichés, c'est prouvé. Surtout sur le web. Ce blog est une tentative de résistance et de non-fichage: le but est que je reste anonyme le plus longtemps possible. Pour le vulgus internautis surfator, s'entend. Encore une fois: essai.
Et voilà, il ne reste plus qu'à faire croire que ce blog sert à raconter des choses intéressantes, dans l'anonymat d'un pays sans gouvernement depuis 3 mois.
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