lundi 3 août 2009

Décidément

Décidément, les temps sont durs. Listons, listons: fin de vingtaine, pas d'appart, pas de couple, réseau social réduit, des parents angoissants, un boulot de moins en moins épanouissant. Ouais bon, ça vaut mieux que pas de boulot du tout, c'est vrai.

Ya des jours où c'est fatigant. Penser investissements stratégiques pour l'avenir, factures, cartes en tous genres; essayer de répondre à la question "vous vous voyez où dans 5 ans?"; penser au meilleur moyen de se faire des amis; penser au meilleur moyen de se faire un copain; au meilleur moyen de dompter les vieux; décider s'il faut changer de boulot ou pas.

Et on ajoute: le suivi des tendances, le shopping "vêtements" parce qu'il faut bien mais c'est duuur, la pression et la compétition, la bouffe -acheter et faire-, la vaisselle, la lessive, les mails, Facebik... Raaah, mais comment font-ils??? Et après ça, il faut encore tenir le coup par rapport aux couples et familles naissantes, dont la conversation s'éloigne de tes préoccupations autant qu'une pomme de terre d'un couteau à frite.

Je suis d'accord avec Anaïs: je hais les couples.

Ou alors, je peux toujours essayer de faire comme Olivia Ruiz, et arrêter de "paniquer" ("pas niquer"??) .

En tout cas, vive l'après-boulot, mmmmh :-)
Mathilde a revu un "1 night stand", ce week-end. Et ça l'a fait rire :-)